Le journal de ma sœur
Résumé
Julie, sœur adorée, sœur détestée. Patrice vit dans l’ombre de cette grande sœur. Elle est belle, intelligente et attire tout l’attention, surtout celle de ses parents. Un jour cependant, tout bascule : Julie est victime d’un accident. Culpabilité, manque, tristesse : Patrice doit désormais vivre sans elle. Mais il peut s’appuyer sur ses amis, Ismaïl et surtout Violette. Dans la maison de vacances, il découvre le journal secret de sa sœur. Une grande émotion s’empare alors du petit frère…
Un roman réaliste qui aborde sans détour le deuil et ses enjeux affectifs. À travers la voix de Patrice, Anne Poiré transmet un véritable élan de vie à ses lecteurs.
Auteur (e) (s) (es)
Anne POIRÉ
A propos de (s) auteur (e) (s) (es)
Anne Poiré est un écrivain français. Elle est née le 10 septembre 1965. Auteur prolixe, elle a publié à ce jour une cinquantaine d’ouvrages, chez des éditeurs très différents. Entre « Le journal de ma sœur » aux éditions du Seuil et « Éclipse solaire », aux éditions Carmina, ou « Histoire d’une schizophrénie », « Encore un suicide », « Papi Jeannot », « Le goût des glaces », « Alphabet mon ami », « Il était uen fois les arbres », « Les lunettes de Mamie Babette », « Le Petit Chaperon vermillon », « L’abécédaire des animaux », « Tous les chats – All the Cats – Todos los gatos », « Quand le Père Noël était petit »… on retrouve une même émotion. Qu’elle s’adresse aux adultes ou aux enfants, son écriture, émouvante, ne peut laisser insensible. « Ce qui me caractérise, c’est avant tout la couleur : je porte du vert, du rouge, du jaune, des lunettes arc-en-ciel et même des boucles rousses. Je m’émerveille et me passionne pour les livres. J’adore aussi raconter des histoires en pensant à mes lecteurs. Je réussis même à me faire pleurer ! Mon principal défaut s’appelle la susceptibilité, mais j’oublie vite. Heureusement ; quoique, parfois, je mets longtemps à digérer… Enfin, je n’aimerais pas être quelqu’un d’autre, mais si je devais me transformer, ce serait en la mer, une mer avec de très hautes vagues. J’ai toujours été engagée. à neuf ans, je bataillais, sur les conseils de mon instituteur, contre la construction d’une centrale nucléaire. Au collège, en découvrant l’espagnol, j’ai appris à mépriser les dictateurs. Puis je me suis prise de passion pour Victor Hugo, et son fabuleux Le Dernier jour d’un condamné. Quant à défendre les femmes, fille de mai 68, j’ai appris l’égalité, à l’école, dans ma famille, où nous étions quatre filles et trois garçons. Anick n’a jamais aimé s’ennuyer sur les bancs de l’école. Ce qui se passait derrière la fenêtre lui a toujours semblé bien plus intéressant. Ainsi, c’est à l’école de la vie qu’elle a fait ses classes. Sa passion pour la peinture est arrivée assez tard, alors qu’elle avait allègrement dans les vingt ans. Après plusieurs expériences d’atelier, de concours et d’expositions, elle a créé avec Damien « le Moule à gaufres », une maison d’édition consacrée à la BD sans pour autant dédaigner illustrer des ouvrages pour les copines. »
Date de parution
14/02/2008