La distinction entre ces deux notions est au cœur de la loi Leonetti sur la fin de vie de 2005. Tout en condamnant tout geste « actif » d’euthanasie, la loi Leonetti permet, quand il n’y a plus d’espoir de guérison et qu’un patient le souhaite, d’arrêter les traitements qui le maintiennent en vie ou, si le corps survit à l’arrêt des traitements, d’arrêter l’alimentation et l’hydratation. Le protocole doit alors inclure des traitements pour soulager les douleurs et lutter contre l’agonie.
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